1. |
Osoyoos
01:25
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2. |
Un jour à la fois
04:17
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Les temps morts se pointent, mais jamais au bon moment
Les remords s’en prennent à tous ceux qui en demandent
J’attends que l’aube me soigne l’âme
J’ai envie d’être loin
J’attends mais y’a rien de plus long que d’attendre après demain
Un jour à la fois
Un jour à la fois
Les temps morts se pointent, mais jamais au bon moment
Les remords s’en prennent à tous ceux qui en demandent
Le monde feel comme un bad trip mais l’hiver achève enfin
Tu t’es rendue loin toi comme ça à faire comme si rien n’était
Un jour à la fois
Un jour à la fois
Un jour à la fois
Un jour à la fois
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3. |
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Tu m’attendais à Rio, mais j’étais à Percé
C’était sûr qu’on allait finir par se manquer
Tu parles en signes et moi en fréquences
Comment se dire ce qu’on veut pas entendre
Je prends le détour
Tu me croises à contresens
On n’a jamais vraiment réussi à s’comprendre
Tu parles en signes et moi en fréquences
Comment se dire ce qu’on veut pas entendre
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4. |
Rappelle-moi ton nom
03:29
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J’ai rêvé de toi hier soir
T’avais mes yeux et mon corps
Tu m’offrais ta langue rasoir
Rappelle-moi ton nom
Labyrinthe dans mon sang
J’ai cru voir au fond le reflet d’un enfant
Rappelle-moi son nom
Il t’appelait sans même connaitre le tien
As-tu perdu ton chemin?
Est-ce que tes tords ressemblent aux miens?
Comme un flashback dans la paume de ta main
Rappelle-moi ton nom
Labyrinthe dans mon sang
J’ai cru voir au fond le reflet d’un enfant
Rappelle-moi son nom
Il t’appelait sans même connaitre le tien
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5. |
Carabine
04:58
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J’ai échappé des mots qui pèsent une tonne
Au fond d’une église où nos coups de feu détonnent
As-tu oublié c’qu’on s’est dit hier?
Nos prières se perdent dans une bouteille de fort
On se sent flou quand l’soleil frappe les stores
Notre amour, un lendemain de veille
Moi qui me croyais plus fort que ça
J’me retrouve à m’confesser dans tes bras
Un kamikaze qui perd la foi
Une balle à blanc qui me rentre dedans
Le souffle court mais l’histoire se tient
C’est pas important, mais pour ton bien
C’est pas la dernière fois que j’te mens
C’est pas la dernière fois que j’te mens
C’est pas la première fois
J’ai échappé des mots qui pèsent une tonne
Au fond d’une église où nos coups de feu détonnent
Notre amour, un lendemain de veille
Moi qui me croyais plus fort que ça
J’me retrouve à m’confesser dans tes bras
Un kamikaze qui perd la foi
Une balle à blanc qui me rentre dedans
Le souffle court mais l’histoire se tient
C’est pas important, mais pour ton bien
C’est pas la dernière fois que j’te mens
C’est pas la dernière fois que j’te mens
C’est pas la première fois
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6. |
Headlights
03:12
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Les écarts te lâchent pas comme une larme qui colle à tes mains
Le silence se lève tôt comme une phrase qui finit en rien
Oublie ton nom en attendant
Headlights droit devant
Oublie ton nom en attendant
Headlights droit devant
Les écarts te lâchent pas comme une larme qui colle à tes mains
Le silence se lève tôt comme une phrase qui finit en rien
Oublie ton nom en attendant
Headlights droit devant
Oublie ton nom en attendant
Headlights droit devant
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7. |
Armure
04:52
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J’ai perdu mon armure hier quand j’suis passé chez toi
Quelque part entre tes doigts
J’ai caché mes fractures, mais tu dessinais mes mots
L’équilibre entre nos peaux
Loin de tout près de toi
Loin de tout près de toi
J’ai perdu mon armure quand tu t’es ouvert à moi
Une offrande qui praille les voies
Loin de tout près de toi
Loin de tout près de toi
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8. |
Golden hour I
03:55
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Ouvre-moi, panorama
J’attendais ton appel depuis des mois
Et toi, grand désert blanc
Qui trouve son chemin à mes os
Lentement
Le vertige me manque
Oh tomber c’est si beau quand on le fait ensemble
J’ai jamais eu besoin de grand-chose
Golden hour, déshabille ma peau
J’ai jamais eu besoin de grand-chose
Golden hour, déshabille ma peau
Parle-moi, panorama
C’est toi ma religion
C’est toi mon arme de guerre
Le retour au clair
Ah tomber c’est si beau quand y’a que ça à faire
J’ai jamais eu besoin de grand-chose
Golden hour, déshabille ma peau
J’ai jamais eu besoin de grand-chose
Golden hour, déshabille ma peau
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9. |
Golden hour II
03:19
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J'ai pas besoin de grand-chose
Golden hour sur ma peau
J'ai pas besoin de grand-chose
Golden hour sur ma peau
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10. |
Thaïlande
04:37
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J’étais bien dans tes bras
J’aurais pu mourir drette-là
Faire l’amour en gilet pare-balles
Coin Ontario, au troisième étage
J’y pense encore
Toi, tu penses à quoi?
Fais pas l’saut si j’perds mon sang
Si je reprends mon souffle un moment
Quand l’abri me prend en otage
Quand ta peau brûle mon langage
M’as-tu jeté un sort
Le matin de ton départ ?
T’es apparue comme un rêve à minuit moins quart
Tu cherchais un remède à l’ennui pis un lift de char
Raconte-moi la Thaïlande, tes nuits blanches
Prends-moi dans tes mains
T’es apparue comme un rêve à minuit moins quart
Tu cherchais un remède à l’ennui pis un lift de char
Raconte-moi la Thaïlande, tes nuits blanches
Prends-moi dans tes mains
J’y pense encore
Toi, tu penses à quoi?
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11. |
Autopilot
02:56
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Ce qui me déforme me fait grandir
Un grand désert blanc qui me transpire
Je t’aime en retard
Je t’aime en retard et j’oublie souvent comment le dire
Ce qui me dévore me garde au chaud
Un grand désert blanc qui soigne mes maux
Quand je perds la mémoire
Quand je perds la mémoire
Tu me rappelles mon nom
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Cédrik St-Onge
Il existe en Cédrik St-Onge un doux paradoxe. C’est sûrement ce qui explique que le créateur, le silencieux, le dévoué et le bouillant puissent vivre en un seul être. Fort de l’accueil réservé à son premier EP — Les yeux comme deux boussoles — et à son premier album — Et si j’étais à des années-lumière — l'artiste gaspésien nous prépare aujourd’hui du nouveau matériel à paraître en 2023. ... more
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